Le loisir de la lecture
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CHAPITRE 14
Après le Bac, les parents nous donne certaines libertés que d'autres ont du mal à gérer c'est le cas de Nela, qui sur le campus, s'est livrer à une vie sexuelle active. D'homme en Homme elle finit par devenir accro avant de rencontrer le Docteur Junior Kent qui à décider de l'épouser. Va-t-elle changer pour ce Docteur ?
~~~Assia ~~~
Le lendemain quand je me suis réveillée elle m'attendait devant la porte ! Après la prière du Fadjr je lui ai tout expliqué et tout ce qu'elle a trouvé à me dire c'était ....
Maman : Tu as demandé qu'il te répudie juste parce qu'il a une autre femme ? Cet homme est super riche et j'aurais pu terminer ma maison si tu étais restée avec lui ( hors d'elle ) Alpha est un musulman et il a le droit d'épouser quatres femmes !
Moi ( furieuse ) : Tout ce qui te préoccupe c'est l'argent Maman ! Figure toi que je ne l'ai pas quitté parce qu'il à une autre femme, si je l'ai fait c'est parce qu'il m'a menti ( soupirant )
Maman : ( me tenant par les épaules ) : Tu ne me sers à rien ! Ta beauté ne me sert à rien Assiatou ! Tu es juste inutile !
Moi : Merci !
Maman : Je veux que tu quittes ma maison toute suite !
Moi : Cette maison, c'est mon père qui l'a construite et je ne bougerai pas d'ici ! Je ne suis pas une marchandise Maman !
Depuis ce jour, elle ne m'a plus adressé la parole ! Cela fait trois mois que nous vivons dans cette maison comme de parfaites inconnues !
La nouvelle à circuler sur toute la ville ! Paraîtrait-il que je ne suis pas née pour me marier ! Tant mieux ! L'autre con a essayé de me contacter, mais en vain !
Quand je sors, on me pointe du doigt parlant du grand n'importe quoi ! Ce que ces gens ne savent pas c'est que je ne vis pas pour eux, et que je m'en fiche des avis des autres ! Peu importe ce que tu fais ... Bien ou mal, les gens parleront de toi , alors pourquoi ne pas vivre sa vie sans prendre en compte l'avis des autres !!
Je vous saute trois jours ! Aujourd'hui ma tante paternelle a organisé une fête chez elle pour accueillir un invité vivant à Dakar ! C'est la seule personne qui me comprend ... On est pareille.
Moi : Tata pourquoi tu as invité toutes les filles de la famille !
Elle ( souriante comme toujours ) : Amadou est un ami de mon fils ! Ils ont étudié ensemble à Dakar ! Ses parents l'ont tellement fatigué pour qu'il se remarie ! Il m'a donc appelé pour me dire qu'il veut épouser une guinéenne cette fois ci particulièrement de ma famille donc ..
Moi ( me levant ) : Alors je ferais mieux de rentrer chez moi !
Elle : Pourquoi ?
Moi : Parce que premièrement son prénom commence par A ... Tu te souviens d'Alpha ? Mon ex mari ? Et deuxièmement parce qu'il veut se remarier ... C'est à dire qu'il a une autre épouse !
Me connaissant, elle n'a pas insisté mais m'a quand même demandé de rester cette nuit chez elle pour l'aider avec la cuisine et le reste ! Elle a tellement insisté que j'ai fini par céder !
Le soir, toutes mes cousines étaient présentes, tellement sappées qu'on aurait dit qu'elles assistaient à la fashion week de Paris ... Tout ça pour un homme ?
Lol !
Peu après, l'invité est arrivé ! Il est bien foutu ce Mec ... Oh mon Dieu ! Son teint noir, sa taille ... Son sourire, on en parle ?
- Il s'appelle Amadou Gueye !
C'était la voix de ma tante ! Elle m'a demandé de servir le repas ... Ce qui fut fait !
Une semaine après ma tante m'a appelé pour me dire que c'est moi qu'il a choisi ! J'ai accepté sans problème !
Après le mariage ... Un grand mariage aussi, il s'est installé en Guinée pour quelques mois !
Un jour alors que je regardais ma série dans le salon ! Il est rentré à 3h du matin, bourré comme un fou ! Il s'est jeté sur moi en essayant de me violer ! Je me suis débattue , mais en vain ! Il m'a frappé comme si j'étais sa pute ...
Heureusement pour moi que malgré tout les coups qu'il m'a donné, il n'a pas réussi à me violer !
J'ai demandé le divorce le lendemain !
Mon père s'est déplacé pour venir me parler ! J'étais devenue le sujet principal de tout le monde ! On ne parlait que de moi! Trois divorce dans une même année !
Il a convoqué presque toute la famille, moi y compris chez mon grand-père !
Voilà que tout le monde est installé ! Je n'arrête pas de cogiter ! Mais pourquoi cette grande reunion?
Mon père ne parle presque jamais et là, Il est furieux !
Lui : Assiatou Assied toi au milieu !
Peter Solo nouveau bachelier étant distrait par ses vacances oublia qu'il devrait aller s'inscrire au plus vite à l'Université de Lomé pour prendre un logement car sa maison était éloigner du campus mais hélas il avait déjà pris du retard. En annonçant la nouvelle au téléphone à sa maman, il fut interpeller par un Pasteur veuf vivant avec ses deux filles dotée d'une beauté et d'une forme époustouflante ; qui lui proposa de l'héberger dans sa demeure juste derrière la clôture du campus. Arriver dans la maison du Pasteur, Peter Solo sera tenter jour et nuit par le désire de la chaire.
Partie 1 :
Saki & Iba.
Tout avait commencé ce fameux jour où je venais de
rentrer de la fac, trouvant ma mère et sa meilleure amie,
assises en pleine discussion devant la véranda. Arrivée à leur
niveau, je leur fis la bise et ma tante enchaîna aussitôt :
« Comment vas-tu ma fille ? Et les études ?
— Bien Tata, je termine cette année, répondis-je avec fierté.
Ensuite je devrais chercher des stages pour compléter ma
formation.
— C’est bien ma fille, je suis fière de toi et j’espère que tu
trouveras rapidement du boulot.
— Je l’espère aussi, mais je vais devoir vous laisser, car j’ai
plein de devoirs qui m’attendent. »
Les laissant à leur discussion, je me dirigeais vers le
couloir menant à ma chambre.
Au moment où je me retournais, j’entendis ma tante et
ma mère parler de moi, m’arrêtant pour les écouter, mon
cœur fit un bond :
« Hum Sakina devient de jour en jour plus belle. C’est une
belle femme que nous avons sous les yeux. Tu ne penses pas
qu’il serait temps de songer à la marier ?, demanda ma tante.
— Toi, tu mijotes quelque chose. En fait j’aimerais tellement
que ce jour arrive, mais Sakina ne m’a toujours pas présenté
quelqu’un et pourtant ce ne sont pas les candidats qui
manquent. Elle est tellement passionnée par les études que j’ai
peur qu’elle finisse vieille fille, répondit alors ma mère.
— Tu n’as pas tort, les enfants d’aujourd’hui ne pensent
qu’aux études et ils oublient que nous, leurs parents, nous
nous faisons vieux. Pour être honnête, il y a plusieurs jours
maintenant, qu’une idée me traverse la tête et je me disais que
Sakina serait vraiment la femme idéale pour mon fils. Que
penserais-tu de marier Sakina avec Ibrahim ? Tu sais, depuis
la fin de ses études de médecine, il travaille dans cette grande
clinique privée de la place du Dr Mansour.
— Oh mon Dieu j’aimerais tellement que ça se réalise.
Ibrahim est un bon parti : en plus d’être sérieux, il est
respectueux. L’avantage que nous avons, c’est que nos
enfants se connaissent déjà. Tu t’imagines ? On aurait enfin
nos petits enfants à chouchouter !!!
— Il ne reste plus qu’à en parler à nos enfants respectifs et
espérer qu’ils acceptent », rétorqua ma tante.
Intérieurement, je savais que ma mère et sa BFF
voulaient qu’Iba et moi nous nous mariions et pour dire vrai, j’en rêve depuis toujours. Iba a été mon premier amour, celui
pour qui j’ai éprouvé des sentiments pour la première fois. Je
n’aurais jamais pensé que ma tante voyait en moi une femme
idéale pour son fils. J’aime du plus profond de mon cœur Iba
et ce serait un de mes plus beaux rêves qui se réaliseraient, s’il
m’épousait.
Ibrahim N’daïry Diop :
Une petite présentation s'impose :
Je m'appelle Ibrahim N’Daïry Diop, suis fils unique, plutôt
beau gosse, et les filles sont à mes pieds depuis toujours. J’ai
32 ans, mesure 1m80, de teint clair et travaille en tant que
neurologue dans une grande clinique privée de la place. Ma
mère, c’est l’amour de ma vie, je ne peux rien lui refuser.
Ayant mon propre appartement, je cherche à me caser mais je
n’ai toujours pas trouvé la perle rare, comme on dit. Bref, je
dois même passer voir ma mère ce week-end, car cela fait un
peu longtemps que je ne suis pas retourné la voir, et ce qui est
sûr, c’est que la connaissant, j’aurai droit à des reproches…
Le week-end est arrivé, je m’apprêtais à rendre visite à
ma mère, puis ensuite à ma chérie du moment…
Je trouvais ma mère assise au salon, en train de
regarder la télé. Dès qu’elle me vit, elle poussa un cri de joie.
C’est toujours comme ça, à chaque fois que je viens, son visage
s’illumine et un beau sourire s’affiche sur ses lèvres, que pour
rien au monde je n’aimerais voir s’effacer. Je m’approchai
d’elle et elle en profita pour me couvrir de baisers comme un
bébé.
« Maman, arrête, je suis plus un bébé…
— Pour moi tu l’es, et tu resteras toujours mon gros bébé !
Alors et ton boulot ? Tu as vraiment boudé ta mère. Si
seulement tu te mariais, je pourrais enfin pouvoir tenir mes
petits-enfants dans mes bras. Je me sens vieille et…
—Mamaaaaaan, criai-je, tu es et resteras toujours jeune.
J’aimerais réaliser ton rêve le plus cher mais comme je te l’ai
déjà dit, je n’arrive pas à trouver la perle rare...
— Humm si tu le dis... J’aimerais te proposer quelqu’un et
après ce sera à toi de voir.
— Je t’écoute maman …
— Que dirais-tu d’épouser Sakina ??? Je trouve qu’elle a
toutes les qualités qu’un homme recherche chez une femme,
et, cerise sur le gâteau, elle est d’une grande beauté.
— Saaaakina ???, fis-je, étonné, en bégayant.
— Oui Sakina, ne me dis pas que tu ne te souviens pas
d’elle? C’est la fille de ma meilleure amie Alima.
— Mais maman, nous ne nous connaissons même pas bien.
On se croise quelquefois, on se salue, rien d’autre.
— Justement, il faut apprendre à la connaître et tu verras
qu’elle a tout ce que tu recherches, dit-elle, en esquissant un
large sourire.
— Si tu veux que je l’épouse, je le ferai pour te faire plaisir…
— Non mon fils, il ne s’agit pas de moi, mais de toi, de ton
bonheur. Apprends à la connaître d’abord, ensuite si tu vois
qu’au cours de vos échanges, elle est à la hauteur de tes attentes, tu n’auras plus qu’à demander sa main. Le mariage
c’est pour le meilleur et pour le pire, sache que je ne
t’imposerai jamais quelqu’un. Réfléchis bien. »
Je quittais ma mère sur cette discussion. Pour dire vrai,
je suis choqué, je n’en reviens toujours pas. Sakina, je me
rappelle bien d’elle, mais je ne la connais pas très bien. Je la
revois encore petite fille, en train de jouer à la cuisinière et aux
poupées…
Ma mère ne s’était jamais mêlée de mes relations et si,
cette fois-ci, elle avait fait une exception, c’était parce qu’elle
pensait vraiment qu’on pourrait former un beau couple.
Humm, c’est à revoir tout ça.
Là, je venais d’arriver chez Myriam, qui m’accueillit
avec un baiser langoureux. Myriam était belle, avec des
formes là où il faut mais je ne nous projetais pas dans le futur.
Nous sommes ensemble depuis des mois et elle est
toujours disponible quels que soit l’heure ou l’endroit, mais
elle me fait également les poches !!! L’idée de l’épouser ne
m’avait jamais traversé la tête, car je la trouvais trop facile.
Perdu dans mes pensées, je n’écoutais pas ce qu’elle me disait,
elle s’en rendit compte, et se tut pour me regarder.
« Bébé ??? Ça va ?? Ça fait maintenant un moment que je te
parle mais tu ne m’écoutes pas !!!, s’exclama-t-elle.
— Excuse-moi, je réfléchissais.
Tu disais ???
— Je disais que j’avais vu une jolie robe qui irait bien avec
mes nouvelles chaussures.
— Ok ok. Je te donnerai l’argent mais excuse-moi, il faut que
je parte, j’ai un programme avec Bocar.
— À peine arrivé et tu repars déjà ?, dit-elle avec une mine
boudeuse.
—Désolé je n’ai pas le temps, on se voit après. »
M’approchant d’elle, je lui fis un rapide baiser avant de
sortir de chez elle.
Bocar est mon meilleur ami, nous nous connaissons
depuis l’enfance. Nous avons toujours tout partagé. Il est
célibataire, tout comme moi. Une fois dans ma voiture, je
l'appelai sans tarder.
« Bro, c’est comment ? On se capte à notre coin habituel ?
— Pas de problème, j’y serai dans moins d’un quart
d’heure.»
Notre coin, quand on voulait être seuls, c’était la plage.
On pouvait y passer des heures et c’était aussi l’occasion pour
nous, de faire de nouvelles conquêtes. Bocar est le plus
endurci d’entre nous. Pour lui, le mariage est au second plan.
Il veut profiter de la vie au max, car on ne vit qu’une fois, et
se caser le plus tard possible. En dehors de ça, c’est un
véritable frère. Il a toujours été là pour moi, tout comme moi
pour lui. Tiens, en parlant de lui, le voilà qui arrive. S’ensuivit une accolade.
Partie 2 : Le Mariage.
Ces derniers temps, Ibrahim est très présent à la
maison. Il vient saluer chaque soir ma mère et en profite
ensuite pour parler avec moi. En revenant d’une sortie entre
copines, je le trouve en pleine discussion avec ma mère. Après
les avoir salués, je m’installe à côté d’eux puis, quelques
minutes après, ma mère nous laissa seuls.
« Quoi de neuf, Sakina ?
— Ça va, juste submergée par les cours. Et toi au travail ?
— Ah ça va, beaucoup de patients mais on fait avec.
J’aimerais te demander quelque chose.
— Vas-y, je t’écoute…
— Ça fait un moment que je t’observe et j’aimerais vraiment
t’épouser.
Accepterais-tu d’être ma femme ? »
‹Quand le monde s'en dort et se laisse persuader par des principes absurdes››. C'est le mieux que l'on puisse dire...
La femme porte en elle le désir charnel. Comment ne pas flancher? Il n'y a qu'à te mettre devant un lac et jeter ta canne à pêche. les plus stupides mordent à l'hameçon. Voilà comment, je traite le genre féminin. Avec beaucoup de mots légers.
J'ai longtemps été un gros coureur de jupons. Un homme débauché et lubrique, j'étais. Charmer des femmes et les avoir dans mon lit, plus qu'un trophée. Dieu seul sait ce qu'il a mis dans leur chair. Chacune vient avec son goût. De vraies messires!
Mais. Il y'a toujours un mais. Une seule femme au nom de Mya Britney a su retenir mon attention. Elle m'a calmé d'une façon dont je ne saurais décrire. Elle a foutu toutes mes techniques de charme et de séduction dans un bac à ordures. C'est comme ça que je me suis attaché à elle. Sa confiance, elle me l'a donné sans méfiance. Mon passé a refait surface lorsqu'elle m'annonce une nouvelle dont je ne m'y attendais pas. Dans ces mots, je ne voulais pas songer à un éventuel avenir à ses côtés malgré ses supplications. Alors, pour être à nouveau libre, j'ai commis l'irréparable.
Une succession d'événements se sont suivis après cette décision stérile et précipitée en laissant de lourdes conséquences. Un mauvais karma me collerait donc sur la peau. De mon acte, j'ai payé très cher.
Amira vit tranquillement sa petite vie, remplie de rêves et d’ambitions. Peinant à joindre les deux bouts, elle décide de se lever et faire des efforts supplémentaires pour s’occuper de sa famille. C’est dans cette optique qu’elle se rend dans une entreprise de la place pour vendre. Elle rencontre la femme du boss des lieux qui lui propose de travailler pour elle. La jeune fille est loin de s’imaginer ce qui l’attend…
Partie 1 :
Saki & Iba.
Tout avait commencé ce fameux jour où je venais de
rentrer de la fac, trouvant ma mère et sa meilleure amie,
assises en pleine discussion devant la véranda. Arrivée à leur
niveau, je leur fis la bise et ma tante enchaîna aussitôt :
« Comment vas-tu ma fille ? Et les études ?
— Bien Tata, je termine cette année, répondis-je avec fierté.
Ensuite je devrais chercher des stages pour compléter ma
formation.
— C’est bien ma fille, je suis fière de toi et j’espère que tu
trouveras rapidement du boulot.
— Je l’espère aussi, mais je vais devoir vous laisser, car j’ai
plein de devoirs qui m’attendent. »
Les laissant à leur discussion, je me dirigeais vers le
couloir menant à ma chambre.
Au moment où je me retournais, j’entendis ma tante et
ma mère parler de moi, m’arrêtant pour les écouter, mon
cœur fit un bond :
« Hum Sakina devient de jour en jour plus belle. C’est une
belle femme que nous avons sous les yeux. Tu ne penses pas
qu’il serait temps de songer à la marier ?, demanda ma tante.
— Toi, tu mijotes quelque chose. En fait j’aimerais tellement
que ce jour arrive, mais Sakina ne m’a toujours pas présenté
quelqu’un et pourtant ce ne sont pas les candidats qui
manquent. Elle est tellement passionnée par les études que j’ai
peur qu’elle finisse vieille fille, répondit alors ma mère.
— Tu n’as pas tort, les enfants d’aujourd’hui ne pensent
qu’aux études et ils oublient que nous, leurs parents, nous
nous faisons vieux. Pour être honnête, il y a plusieurs jours
maintenant, qu’une idée me traverse la tête et je me disais que
Sakina serait vraiment la femme idéale pour mon fils. Que
penserais-tu de marier Sakina avec Ibrahim ? Tu sais, depuis
la fin de ses études de médecine, il travaille dans cette grande
clinique privée de la place du Dr Mansour.
— Oh mon Dieu j’aimerais tellement que ça se réalise.
Ibrahim est un bon parti : en plus d’être sérieux, il est
respectueux. L’avantage que nous avons, c’est que nos
enfants se connaissent déjà. Tu t’imagines ? On aurait enfin
nos petits enfants à chouchouter !!!
— Il ne reste plus qu’à en parler à nos enfants respectifs et
espérer qu’ils acceptent », rétorqua ma tante.
Intérieurement, je savais que ma mère et sa BFF
voulaient qu’Iba et moi nous nous mariions et pour dire vrai, j’en rêve depuis toujours. Iba a été mon premier amour, celui
pour qui j’ai éprouvé des sentiments pour la première fois. Je
n’aurais jamais pensé que ma tante voyait en moi une femme
idéale pour son fils. J’aime du plus profond de mon cœur Iba
et ce serait un de mes plus beaux rêves qui se réaliseraient, s’il
m’épousait.
Ibrahim N’daïry Diop :
Une petite présentation s'impose :
Je m'appelle Ibrahim N’Daïry Diop, suis fils unique, plutôt
beau gosse, et les filles sont à mes pieds depuis toujours. J’ai
32 ans, mesure 1m80, de teint clair et travaille en tant que
neurologue dans une grande clinique privée de la place. Ma
mère, c’est l’amour de ma vie, je ne peux rien lui refuser.
Ayant mon propre appartement, je cherche à me caser mais je
n’ai toujours pas trouvé la perle rare, comme on dit. Bref, je
dois même passer voir ma mère ce week-end, car cela fait un
peu longtemps que je ne suis pas retourné la voir, et ce qui est
sûr, c’est que la connaissant, j’aurai droit à des reproches…
Le week-end est arrivé, je m’apprêtais à rendre visite à
ma mère, puis ensuite à ma chérie du moment…
Je trouvais ma mère assise au salon, en train de
regarder la télé. Dès qu’elle me vit, elle poussa un cri de joie.
C’est toujours comme ça, à chaque fois que je viens, son visage
s’illumine et un beau sourire s’affiche sur ses lèvres, que pour
rien au monde je n’aimerais voir s’effacer. Je m’approchai
d’elle et elle en profita pour me couvrir de baisers comme un
bébé.
« Maman, arrête, je suis plus un bébé…
— Pour moi tu l’es, et tu resteras toujours mon gros bébé !
Alors et ton boulot ? Tu as vraiment boudé ta mère. Si
seulement tu te mariais, je pourrais enfin pouvoir tenir mes
petits-enfants dans mes bras. Je me sens vieille et…
—Mamaaaaaan, criai-je, tu es et resteras toujours jeune.
J’aimerais réaliser ton rêve le plus cher mais comme je te l’ai
déjà dit, je n’arrive pas à trouver la perle rare...
— Humm si tu le dis... J’aimerais te proposer quelqu’un et
après ce sera à toi de voir.
— Je t’écoute maman …
— Que dirais-tu d’épouser Sakina ??? Je trouve qu’elle a
toutes les qualités qu’un homme recherche chez une femme,
et, cerise sur le gâteau, elle est d’une grande beauté.
— Saaaakina ???, fis-je, étonné, en bégayant.
— Oui Sakina, ne me dis pas que tu ne te souviens pas
d’elle? C’est la fille de ma meilleure amie Alima.
— Mais maman, nous ne nous connaissons même pas bien.
On se croise quelquefois, on se salue, rien d’autre.
— Justement, il faut apprendre à la connaître et tu verras
qu’elle a tout ce que tu recherches, dit-elle, en esquissant un
large sourire.
— Si tu veux que je l’épouse, je le ferai pour te faire plaisir…
— Non mon fils, il ne s’agit pas de moi, mais de toi, de ton
bonheur. Apprends à la connaître d’abord, ensuite si tu vois
qu’au cours de vos échanges, elle est à la hauteur de tes attentes, tu n’auras plus qu’à demander sa main. Le mariage
c’est pour le meilleur et pour le pire, sache que je ne
t’imposerai jamais quelqu’un. Réfléchis bien. »
Je quittais ma mère sur cette discussion. Pour dire vrai,
je suis choqué, je n’en reviens toujours pas. Sakina, je me
rappelle bien d’elle, mais je ne la connais pas très bien. Je la
revois encore petite fille, en train de jouer à la cuisinière et aux
poupées…
Ma mère ne s’était jamais mêlée de mes relations et si,
cette fois-ci, elle avait fait une exception, c’était parce qu’elle
pensait vraiment qu’on pourrait former un beau couple.
Humm, c’est à revoir tout ça.
Là, je venais d’arriver chez Myriam, qui m’accueillit
avec un baiser langoureux. Myriam était belle, avec des
formes là où il faut mais je ne nous projetais pas dans le futur.
Nous sommes ensemble depuis des mois et elle est
toujours disponible quels que soit l’heure ou l’endroit, mais
elle me fait également les poches !!! L’idée de l’épouser ne
m’avait jamais traversé la tête, car je la trouvais trop facile.
Perdu dans mes pensées, je n’écoutais pas ce qu’elle me disait,
elle s’en rendit compte, et se tut pour me regarder.
« Bébé ??? Ça va ?? Ça fait maintenant un moment que je te
parle mais tu ne m’écoutes pas !!!, s’exclama-t-elle.
— Excuse-moi, je réfléchissais.
Tu disais ???
— Je disais que j’avais vu une jolie robe qui irait bien avec
mes nouvelles chaussures.
— Ok ok. Je te donnerai l’argent mais excuse-moi, il faut que
je parte, j’ai un programme avec Bocar.
— À peine arrivé et tu repars déjà ?, dit-elle avec une mine
boudeuse.
—Désolé je n’ai pas le temps, on se voit après. »
M’approchant d’elle, je lui fis un rapide baiser avant de
sortir de chez elle.
Bocar est mon meilleur ami, nous nous connaissons
depuis l’enfance. Nous avons toujours tout partagé. Il est
célibataire, tout comme moi. Une fois dans ma voiture, je
l'appelai sans tarder.
« Bro, c’est comment ? On se capte à notre coin habituel ?
— Pas de problème, j’y serai dans moins d’un quart
d’heure.»
Notre coin, quand on voulait être seuls, c’était la plage.
On pouvait y passer des heures et c’était aussi l’occasion pour
nous, de faire de nouvelles conquêtes. Bocar est le plus
endurci d’entre nous. Pour lui, le mariage est au second plan.
Il veut profiter de la vie au max, car on ne vit qu’une fois, et
se caser le plus tard possible. En dehors de ça, c’est un
véritable frère. Il a toujours été là pour moi, tout comme moi
pour lui. Tiens, en parlant de lui, le voilà qui arrive. S’ensuivit une accolade.
Partie 2 : Le Mariage.
Ces derniers temps, Ibrahim est très présent à la
maison. Il vient saluer chaque soir ma mère et en profite
ensuite pour parler avec moi. En revenant d’une sortie entre
copines, je le trouve en pleine discussion avec ma mère. Après
les avoir salués, je m’installe à côté d’eux puis, quelques
minutes après, ma mère nous laissa seuls.
« Quoi de neuf, Sakina ?
— Ça va, juste submergée par les cours. Et toi au travail ?
— Ah ça va, beaucoup de patients mais on fait avec.
J’aimerais te demander quelque chose.
— Vas-y, je t’écoute…
— Ça fait un moment que je t’observe et j’aimerais vraiment
t’épouser.
Accepterais-tu d’être ma femme ? »
CHAPITRE 14
Après le Bac, les parents nous donne certaines libertés que d'autres ont du mal à gérer c'est le cas de Nela, qui sur le campus, s'est livrer à une vie sexuelle active. D'homme en Homme elle finit par devenir accro avant de rencontrer le Docteur Junior Kent qui à décider de l'épouser. Va-t-elle changer pour ce Docteur ?
~~~Assia ~~~
Le lendemain quand je me suis réveillée elle m'attendait devant la porte ! Après la prière du Fadjr je lui ai tout expliqué et tout ce qu'elle a trouvé à me dire c'était ....
Maman : Tu as demandé qu'il te répudie juste parce qu'il a une autre femme ? Cet homme est super riche et j'aurais pu terminer ma maison si tu étais restée avec lui ( hors d'elle ) Alpha est un musulman et il a le droit d'épouser quatres femmes !
Moi ( furieuse ) : Tout ce qui te préoccupe c'est l'argent Maman ! Figure toi que je ne l'ai pas quitté parce qu'il à une autre femme, si je l'ai fait c'est parce qu'il m'a menti ( soupirant )
Maman : ( me tenant par les épaules ) : Tu ne me sers à rien ! Ta beauté ne me sert à rien Assiatou ! Tu es juste inutile !
Moi : Merci !
Maman : Je veux que tu quittes ma maison toute suite !
Moi : Cette maison, c'est mon père qui l'a construite et je ne bougerai pas d'ici ! Je ne suis pas une marchandise Maman !
Depuis ce jour, elle ne m'a plus adressé la parole ! Cela fait trois mois que nous vivons dans cette maison comme de parfaites inconnues !
La nouvelle à circuler sur toute la ville ! Paraîtrait-il que je ne suis pas née pour me marier ! Tant mieux ! L'autre con a essayé de me contacter, mais en vain !
Quand je sors, on me pointe du doigt parlant du grand n'importe quoi ! Ce que ces gens ne savent pas c'est que je ne vis pas pour eux, et que je m'en fiche des avis des autres ! Peu importe ce que tu fais ... Bien ou mal, les gens parleront de toi , alors pourquoi ne pas vivre sa vie sans prendre en compte l'avis des autres !!
Je vous saute trois jours ! Aujourd'hui ma tante paternelle a organisé une fête chez elle pour accueillir un invité vivant à Dakar ! C'est la seule personne qui me comprend ... On est pareille.
Moi : Tata pourquoi tu as invité toutes les filles de la famille !
Elle ( souriante comme toujours ) : Amadou est un ami de mon fils ! Ils ont étudié ensemble à Dakar ! Ses parents l'ont tellement fatigué pour qu'il se remarie ! Il m'a donc appelé pour me dire qu'il veut épouser une guinéenne cette fois ci particulièrement de ma famille donc ..
Moi ( me levant ) : Alors je ferais mieux de rentrer chez moi !
Elle : Pourquoi ?
Moi : Parce que premièrement son prénom commence par A ... Tu te souviens d'Alpha ? Mon ex mari ? Et deuxièmement parce qu'il veut se remarier ... C'est à dire qu'il a une autre épouse !
Me connaissant, elle n'a pas insisté mais m'a quand même demandé de rester cette nuit chez elle pour l'aider avec la cuisine et le reste ! Elle a tellement insisté que j'ai fini par céder !
Le soir, toutes mes cousines étaient présentes, tellement sappées qu'on aurait dit qu'elles assistaient à la fashion week de Paris ... Tout ça pour un homme ?
Lol !
Peu après, l'invité est arrivé ! Il est bien foutu ce Mec ... Oh mon Dieu ! Son teint noir, sa taille ... Son sourire, on en parle ?
- Il s'appelle Amadou Gueye !
C'était la voix de ma tante ! Elle m'a demandé de servir le repas ... Ce qui fut fait !
Une semaine après ma tante m'a appelé pour me dire que c'est moi qu'il a choisi ! J'ai accepté sans problème !
Après le mariage ... Un grand mariage aussi, il s'est installé en Guinée pour quelques mois !
Un jour alors que je regardais ma série dans le salon ! Il est rentré à 3h du matin, bourré comme un fou ! Il s'est jeté sur moi en essayant de me violer ! Je me suis débattue , mais en vain ! Il m'a frappé comme si j'étais sa pute ...
Heureusement pour moi que malgré tout les coups qu'il m'a donné, il n'a pas réussi à me violer !
J'ai demandé le divorce le lendemain !
Mon père s'est déplacé pour venir me parler ! J'étais devenue le sujet principal de tout le monde ! On ne parlait que de moi! Trois divorce dans une même année !
Il a convoqué presque toute la famille, moi y compris chez mon grand-père !
Voilà que tout le monde est installé ! Je n'arrête pas de cogiter ! Mais pourquoi cette grande reunion?
Mon père ne parle presque jamais et là, Il est furieux !
Lui : Assiatou Assied toi au milieu !
Peter Solo nouveau bachelier étant distrait par ses vacances oublia qu'il devrait aller s'inscrire au plus vite à l'Université de Lomé pour prendre un logement car sa maison était éloigner du campus mais hélas il avait déjà pris du retard. En annonçant la nouvelle au téléphone à sa maman, il fut interpeller par un Pasteur veuf vivant avec ses deux filles dotée d'une beauté et d'une forme époustouflante ; qui lui proposa de l'héberger dans sa demeure juste derrière la clôture du campus. Arriver dans la maison du Pasteur, Peter Solo sera tenter jour et nuit par le désire de la chaire.
Partie 1 :
Saki & Iba.
Tout avait commencé ce fameux jour où je venais de
rentrer de la fac, trouvant ma mère et sa meilleure amie,
assises en pleine discussion devant la véranda. Arrivée à leur
niveau, je leur fis la bise et ma tante enchaîna aussitôt :
« Comment vas-tu ma fille ? Et les études ?
— Bien Tata, je termine cette année, répondis-je avec fierté.
Ensuite je devrais chercher des stages pour compléter ma
formation.
— C’est bien ma fille, je suis fière de toi et j’espère que tu
trouveras rapidement du boulot.
— Je l’espère aussi, mais je vais devoir vous laisser, car j’ai
plein de devoirs qui m’attendent. »
Les laissant à leur discussion, je me dirigeais vers le
couloir menant à ma chambre.
Au moment où je me retournais, j’entendis ma tante et
ma mère parler de moi, m’arrêtant pour les écouter, mon
cœur fit un bond :
« Hum Sakina devient de jour en jour plus belle. C’est une
belle femme que nous avons sous les yeux. Tu ne penses pas
qu’il serait temps de songer à la marier ?, demanda ma tante.
— Toi, tu mijotes quelque chose. En fait j’aimerais tellement
que ce jour arrive, mais Sakina ne m’a toujours pas présenté
quelqu’un et pourtant ce ne sont pas les candidats qui
manquent. Elle est tellement passionnée par les études que j’ai
peur qu’elle finisse vieille fille, répondit alors ma mère.
— Tu n’as pas tort, les enfants d’aujourd’hui ne pensent
qu’aux études et ils oublient que nous, leurs parents, nous
nous faisons vieux. Pour être honnête, il y a plusieurs jours
maintenant, qu’une idée me traverse la tête et je me disais que
Sakina serait vraiment la femme idéale pour mon fils. Que
penserais-tu de marier Sakina avec Ibrahim ? Tu sais, depuis
la fin de ses études de médecine, il travaille dans cette grande
clinique privée de la place du Dr Mansour.
— Oh mon Dieu j’aimerais tellement que ça se réalise.
Ibrahim est un bon parti : en plus d’être sérieux, il est
respectueux. L’avantage que nous avons, c’est que nos
enfants se connaissent déjà. Tu t’imagines ? On aurait enfin
nos petits enfants à chouchouter !!!
— Il ne reste plus qu’à en parler à nos enfants respectifs et
espérer qu’ils acceptent », rétorqua ma tante.
Intérieurement, je savais que ma mère et sa BFF
voulaient qu’Iba et moi nous nous mariions et pour dire vrai, j’en rêve depuis toujours. Iba a été mon premier amour, celui
pour qui j’ai éprouvé des sentiments pour la première fois. Je
n’aurais jamais pensé que ma tante voyait en moi une femme
idéale pour son fils. J’aime du plus profond de mon cœur Iba
et ce serait un de mes plus beaux rêves qui se réaliseraient, s’il
m’épousait.
Ibrahim N’daïry Diop :
Une petite présentation s'impose :
Je m'appelle Ibrahim N’Daïry Diop, suis fils unique, plutôt
beau gosse, et les filles sont à mes pieds depuis toujours. J’ai
32 ans, mesure 1m80, de teint clair et travaille en tant que
neurologue dans une grande clinique privée de la place. Ma
mère, c’est l’amour de ma vie, je ne peux rien lui refuser.
Ayant mon propre appartement, je cherche à me caser mais je
n’ai toujours pas trouvé la perle rare, comme on dit. Bref, je
dois même passer voir ma mère ce week-end, car cela fait un
peu longtemps que je ne suis pas retourné la voir, et ce qui est
sûr, c’est que la connaissant, j’aurai droit à des reproches…
Le week-end est arrivé, je m’apprêtais à rendre visite à
ma mère, puis ensuite à ma chérie du moment…
Je trouvais ma mère assise au salon, en train de
regarder la télé. Dès qu’elle me vit, elle poussa un cri de joie.
C’est toujours comme ça, à chaque fois que je viens, son visage
s’illumine et un beau sourire s’affiche sur ses lèvres, que pour
rien au monde je n’aimerais voir s’effacer. Je m’approchai
d’elle et elle en profita pour me couvrir de baisers comme un
bébé.
« Maman, arrête, je suis plus un bébé…
— Pour moi tu l’es, et tu resteras toujours mon gros bébé !
Alors et ton boulot ? Tu as vraiment boudé ta mère. Si
seulement tu te mariais, je pourrais enfin pouvoir tenir mes
petits-enfants dans mes bras. Je me sens vieille et…
—Mamaaaaaan, criai-je, tu es et resteras toujours jeune.
J’aimerais réaliser ton rêve le plus cher mais comme je te l’ai
déjà dit, je n’arrive pas à trouver la perle rare...
— Humm si tu le dis... J’aimerais te proposer quelqu’un et
après ce sera à toi de voir.
— Je t’écoute maman …
— Que dirais-tu d’épouser Sakina ??? Je trouve qu’elle a
toutes les qualités qu’un homme recherche chez une femme,
et, cerise sur le gâteau, elle est d’une grande beauté.
— Saaaakina ???, fis-je, étonné, en bégayant.
— Oui Sakina, ne me dis pas que tu ne te souviens pas
d’elle? C’est la fille de ma meilleure amie Alima.
— Mais maman, nous ne nous connaissons même pas bien.
On se croise quelquefois, on se salue, rien d’autre.
— Justement, il faut apprendre à la connaître et tu verras
qu’elle a tout ce que tu recherches, dit-elle, en esquissant un
large sourire.
— Si tu veux que je l’épouse, je le ferai pour te faire plaisir…
— Non mon fils, il ne s’agit pas de moi, mais de toi, de ton
bonheur. Apprends à la connaître d’abord, ensuite si tu vois
qu’au cours de vos échanges, elle est à la hauteur de tes attentes, tu n’auras plus qu’à demander sa main. Le mariage
c’est pour le meilleur et pour le pire, sache que je ne
t’imposerai jamais quelqu’un. Réfléchis bien. »
Je quittais ma mère sur cette discussion. Pour dire vrai,
je suis choqué, je n’en reviens toujours pas. Sakina, je me
rappelle bien d’elle, mais je ne la connais pas très bien. Je la
revois encore petite fille, en train de jouer à la cuisinière et aux
poupées…
Ma mère ne s’était jamais mêlée de mes relations et si,
cette fois-ci, elle avait fait une exception, c’était parce qu’elle
pensait vraiment qu’on pourrait former un beau couple.
Humm, c’est à revoir tout ça.
Là, je venais d’arriver chez Myriam, qui m’accueillit
avec un baiser langoureux. Myriam était belle, avec des
formes là où il faut mais je ne nous projetais pas dans le futur.
Nous sommes ensemble depuis des mois et elle est
toujours disponible quels que soit l’heure ou l’endroit, mais
elle me fait également les poches !!! L’idée de l’épouser ne
m’avait jamais traversé la tête, car je la trouvais trop facile.
Perdu dans mes pensées, je n’écoutais pas ce qu’elle me disait,
elle s’en rendit compte, et se tut pour me regarder.
« Bébé ??? Ça va ?? Ça fait maintenant un moment que je te
parle mais tu ne m’écoutes pas !!!, s’exclama-t-elle.
— Excuse-moi, je réfléchissais.
Tu disais ???
— Je disais que j’avais vu une jolie robe qui irait bien avec
mes nouvelles chaussures.
— Ok ok. Je te donnerai l’argent mais excuse-moi, il faut que
je parte, j’ai un programme avec Bocar.
— À peine arrivé et tu repars déjà ?, dit-elle avec une mine
boudeuse.
—Désolé je n’ai pas le temps, on se voit après. »
M’approchant d’elle, je lui fis un rapide baiser avant de
sortir de chez elle.
Bocar est mon meilleur ami, nous nous connaissons
depuis l’enfance. Nous avons toujours tout partagé. Il est
célibataire, tout comme moi. Une fois dans ma voiture, je
l'appelai sans tarder.
« Bro, c’est comment ? On se capte à notre coin habituel ?
— Pas de problème, j’y serai dans moins d’un quart
d’heure.»
Notre coin, quand on voulait être seuls, c’était la plage.
On pouvait y passer des heures et c’était aussi l’occasion pour
nous, de faire de nouvelles conquêtes. Bocar est le plus
endurci d’entre nous. Pour lui, le mariage est au second plan.
Il veut profiter de la vie au max, car on ne vit qu’une fois, et
se caser le plus tard possible. En dehors de ça, c’est un
véritable frère. Il a toujours été là pour moi, tout comme moi
pour lui. Tiens, en parlant de lui, le voilà qui arrive. S’ensuivit une accolade.
Partie 2 : Le Mariage.
Ces derniers temps, Ibrahim est très présent à la
maison. Il vient saluer chaque soir ma mère et en profite
ensuite pour parler avec moi. En revenant d’une sortie entre
copines, je le trouve en pleine discussion avec ma mère. Après
les avoir salués, je m’installe à côté d’eux puis, quelques
minutes après, ma mère nous laissa seuls.
« Quoi de neuf, Sakina ?
— Ça va, juste submergée par les cours. Et toi au travail ?
— Ah ça va, beaucoup de patients mais on fait avec.
J’aimerais te demander quelque chose.
— Vas-y, je t’écoute…
— Ça fait un moment que je t’observe et j’aimerais vraiment
t’épouser.
Accepterais-tu d’être ma femme ? »
‹Quand le monde s'en dort et se laisse persuader par des principes absurdes››. C'est le mieux que l'on puisse dire...
La femme porte en elle le désir charnel. Comment ne pas flancher? Il n'y a qu'à te mettre devant un lac et jeter ta canne à pêche. les plus stupides mordent à l'hameçon. Voilà comment, je traite le genre féminin. Avec beaucoup de mots légers.
J'ai longtemps été un gros coureur de jupons. Un homme débauché et lubrique, j'étais. Charmer des femmes et les avoir dans mon lit, plus qu'un trophée. Dieu seul sait ce qu'il a mis dans leur chair. Chacune vient avec son goût. De vraies messires!
Mais. Il y'a toujours un mais. Une seule femme au nom de Mya Britney a su retenir mon attention. Elle m'a calmé d'une façon dont je ne saurais décrire. Elle a foutu toutes mes techniques de charme et de séduction dans un bac à ordures. C'est comme ça que je me suis attaché à elle. Sa confiance, elle me l'a donné sans méfiance. Mon passé a refait surface lorsqu'elle m'annonce une nouvelle dont je ne m'y attendais pas. Dans ces mots, je ne voulais pas songer à un éventuel avenir à ses côtés malgré ses supplications. Alors, pour être à nouveau libre, j'ai commis l'irréparable.
Une succession d'événements se sont suivis après cette décision stérile et précipitée en laissant de lourdes conséquences. Un mauvais karma me collerait donc sur la peau. De mon acte, j'ai payé très cher.
Amira vit tranquillement sa petite vie, remplie de rêves et d’ambitions. Peinant à joindre les deux bouts, elle décide de se lever et faire des efforts supplémentaires pour s’occuper de sa famille. C’est dans cette optique qu’elle se rend dans une entreprise de la place pour vendre. Elle rencontre la femme du boss des lieux qui lui propose de travailler pour elle. La jeune fille est loin de s’imaginer ce qui l’attend…
Partie 1 :
Saki & Iba.
Tout avait commencé ce fameux jour où je venais de
rentrer de la fac, trouvant ma mère et sa meilleure amie,
assises en pleine discussion devant la véranda. Arrivée à leur
niveau, je leur fis la bise et ma tante enchaîna aussitôt :
« Comment vas-tu ma fille ? Et les études ?
— Bien Tata, je termine cette année, répondis-je avec fierté.
Ensuite je devrais chercher des stages pour compléter ma
formation.
— C’est bien ma fille, je suis fière de toi et j’espère que tu
trouveras rapidement du boulot.
— Je l’espère aussi, mais je vais devoir vous laisser, car j’ai
plein de devoirs qui m’attendent. »
Les laissant à leur discussion, je me dirigeais vers le
couloir menant à ma chambre.
Au moment où je me retournais, j’entendis ma tante et
ma mère parler de moi, m’arrêtant pour les écouter, mon
cœur fit un bond :
« Hum Sakina devient de jour en jour plus belle. C’est une
belle femme que nous avons sous les yeux. Tu ne penses pas
qu’il serait temps de songer à la marier ?, demanda ma tante.
— Toi, tu mijotes quelque chose. En fait j’aimerais tellement
que ce jour arrive, mais Sakina ne m’a toujours pas présenté
quelqu’un et pourtant ce ne sont pas les candidats qui
manquent. Elle est tellement passionnée par les études que j’ai
peur qu’elle finisse vieille fille, répondit alors ma mère.
— Tu n’as pas tort, les enfants d’aujourd’hui ne pensent
qu’aux études et ils oublient que nous, leurs parents, nous
nous faisons vieux. Pour être honnête, il y a plusieurs jours
maintenant, qu’une idée me traverse la tête et je me disais que
Sakina serait vraiment la femme idéale pour mon fils. Que
penserais-tu de marier Sakina avec Ibrahim ? Tu sais, depuis
la fin de ses études de médecine, il travaille dans cette grande
clinique privée de la place du Dr Mansour.
— Oh mon Dieu j’aimerais tellement que ça se réalise.
Ibrahim est un bon parti : en plus d’être sérieux, il est
respectueux. L’avantage que nous avons, c’est que nos
enfants se connaissent déjà. Tu t’imagines ? On aurait enfin
nos petits enfants à chouchouter !!!
— Il ne reste plus qu’à en parler à nos enfants respectifs et
espérer qu’ils acceptent », rétorqua ma tante.
Intérieurement, je savais que ma mère et sa BFF
voulaient qu’Iba et moi nous nous mariions et pour dire vrai, j’en rêve depuis toujours. Iba a été mon premier amour, celui
pour qui j’ai éprouvé des sentiments pour la première fois. Je
n’aurais jamais pensé que ma tante voyait en moi une femme
idéale pour son fils. J’aime du plus profond de mon cœur Iba
et ce serait un de mes plus beaux rêves qui se réaliseraient, s’il
m’épousait.
Ibrahim N’daïry Diop :
Une petite présentation s'impose :
Je m'appelle Ibrahim N’Daïry Diop, suis fils unique, plutôt
beau gosse, et les filles sont à mes pieds depuis toujours. J’ai
32 ans, mesure 1m80, de teint clair et travaille en tant que
neurologue dans une grande clinique privée de la place. Ma
mère, c’est l’amour de ma vie, je ne peux rien lui refuser.
Ayant mon propre appartement, je cherche à me caser mais je
n’ai toujours pas trouvé la perle rare, comme on dit. Bref, je
dois même passer voir ma mère ce week-end, car cela fait un
peu longtemps que je ne suis pas retourné la voir, et ce qui est
sûr, c’est que la connaissant, j’aurai droit à des reproches…
Le week-end est arrivé, je m’apprêtais à rendre visite à
ma mère, puis ensuite à ma chérie du moment…
Je trouvais ma mère assise au salon, en train de
regarder la télé. Dès qu’elle me vit, elle poussa un cri de joie.
C’est toujours comme ça, à chaque fois que je viens, son visage
s’illumine et un beau sourire s’affiche sur ses lèvres, que pour
rien au monde je n’aimerais voir s’effacer. Je m’approchai
d’elle et elle en profita pour me couvrir de baisers comme un
bébé.
« Maman, arrête, je suis plus un bébé…
— Pour moi tu l’es, et tu resteras toujours mon gros bébé !
Alors et ton boulot ? Tu as vraiment boudé ta mère. Si
seulement tu te mariais, je pourrais enfin pouvoir tenir mes
petits-enfants dans mes bras. Je me sens vieille et…
—Mamaaaaaan, criai-je, tu es et resteras toujours jeune.
J’aimerais réaliser ton rêve le plus cher mais comme je te l’ai
déjà dit, je n’arrive pas à trouver la perle rare...
— Humm si tu le dis... J’aimerais te proposer quelqu’un et
après ce sera à toi de voir.
— Je t’écoute maman …
— Que dirais-tu d’épouser Sakina ??? Je trouve qu’elle a
toutes les qualités qu’un homme recherche chez une femme,
et, cerise sur le gâteau, elle est d’une grande beauté.
— Saaaakina ???, fis-je, étonné, en bégayant.
— Oui Sakina, ne me dis pas que tu ne te souviens pas
d’elle? C’est la fille de ma meilleure amie Alima.
— Mais maman, nous ne nous connaissons même pas bien.
On se croise quelquefois, on se salue, rien d’autre.
— Justement, il faut apprendre à la connaître et tu verras
qu’elle a tout ce que tu recherches, dit-elle, en esquissant un
large sourire.
— Si tu veux que je l’épouse, je le ferai pour te faire plaisir…
— Non mon fils, il ne s’agit pas de moi, mais de toi, de ton
bonheur. Apprends à la connaître d’abord, ensuite si tu vois
qu’au cours de vos échanges, elle est à la hauteur de tes attentes, tu n’auras plus qu’à demander sa main. Le mariage
c’est pour le meilleur et pour le pire, sache que je ne
t’imposerai jamais quelqu’un. Réfléchis bien. »
Je quittais ma mère sur cette discussion. Pour dire vrai,
je suis choqué, je n’en reviens toujours pas. Sakina, je me
rappelle bien d’elle, mais je ne la connais pas très bien. Je la
revois encore petite fille, en train de jouer à la cuisinière et aux
poupées…
Ma mère ne s’était jamais mêlée de mes relations et si,
cette fois-ci, elle avait fait une exception, c’était parce qu’elle
pensait vraiment qu’on pourrait former un beau couple.
Humm, c’est à revoir tout ça.
Là, je venais d’arriver chez Myriam, qui m’accueillit
avec un baiser langoureux. Myriam était belle, avec des
formes là où il faut mais je ne nous projetais pas dans le futur.
Nous sommes ensemble depuis des mois et elle est
toujours disponible quels que soit l’heure ou l’endroit, mais
elle me fait également les poches !!! L’idée de l’épouser ne
m’avait jamais traversé la tête, car je la trouvais trop facile.
Perdu dans mes pensées, je n’écoutais pas ce qu’elle me disait,
elle s’en rendit compte, et se tut pour me regarder.
« Bébé ??? Ça va ?? Ça fait maintenant un moment que je te
parle mais tu ne m’écoutes pas !!!, s’exclama-t-elle.
— Excuse-moi, je réfléchissais.
Tu disais ???
— Je disais que j’avais vu une jolie robe qui irait bien avec
mes nouvelles chaussures.
— Ok ok. Je te donnerai l’argent mais excuse-moi, il faut que
je parte, j’ai un programme avec Bocar.
— À peine arrivé et tu repars déjà ?, dit-elle avec une mine
boudeuse.
—Désolé je n’ai pas le temps, on se voit après. »
M’approchant d’elle, je lui fis un rapide baiser avant de
sortir de chez elle.
Bocar est mon meilleur ami, nous nous connaissons
depuis l’enfance. Nous avons toujours tout partagé. Il est
célibataire, tout comme moi. Une fois dans ma voiture, je
l'appelai sans tarder.
« Bro, c’est comment ? On se capte à notre coin habituel ?
— Pas de problème, j’y serai dans moins d’un quart
d’heure.»
Notre coin, quand on voulait être seuls, c’était la plage.
On pouvait y passer des heures et c’était aussi l’occasion pour
nous, de faire de nouvelles conquêtes. Bocar est le plus
endurci d’entre nous. Pour lui, le mariage est au second plan.
Il veut profiter de la vie au max, car on ne vit qu’une fois, et
se caser le plus tard possible. En dehors de ça, c’est un
véritable frère. Il a toujours été là pour moi, tout comme moi
pour lui. Tiens, en parlant de lui, le voilà qui arrive. S’ensuivit une accolade.
Partie 2 : Le Mariage.
Ces derniers temps, Ibrahim est très présent à la
maison. Il vient saluer chaque soir ma mère et en profite
ensuite pour parler avec moi. En revenant d’une sortie entre
copines, je le trouve en pleine discussion avec ma mère. Après
les avoir salués, je m’installe à côté d’eux puis, quelques
minutes après, ma mère nous laissa seuls.
« Quoi de neuf, Sakina ?
— Ça va, juste submergée par les cours. Et toi au travail ?
— Ah ça va, beaucoup de patients mais on fait avec.
J’aimerais te demander quelque chose.
— Vas-y, je t’écoute…
— Ça fait un moment que je t’observe et j’aimerais vraiment
t’épouser.
Accepterais-tu d’être ma femme ? »
Lire un livre c'est faire une rencontre, découvrir, s'évader où chaque exemplaire peut appartenir à plusieurs vies.
Le loisir de la lecture
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